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Parce queje suis
Une femme...
Parce queje suis
Une femme...
Parce queje suis
Une femme...
on veut me réduire au silence.
“ Nous sommes des milliers, militantes, avocates, journalistes, et nous luttons de toutes nos forces pour la dignité, la justice et les libertés.
Nous sommes des sentinelles des droits humains. ”
Femmes engagées, elles en payent le prix fort.
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c'est les soutenir !
Huang Xueqin
journaliste détenue depuis 600 jours.
Coupable d’avoir couvert des sujets sur les violences faites aux femmes, la corruption, la pollution industrielle et lancé le mouvement #MeToo en Chine
Grâce à votre don, demandons
sa libération immédiate !
Huang Xueqin, journaliste chinoise, couvrait des sujets d’intérêt public, tels que les droits des femmes, des scandales de corruption, la pollution ...
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industrielle. Elle a ouvertement soutenu des victimes et survivantes de harcèlement sexuel et de violence dans le cadre du mouvement #MeToo. En septembre 2021, Huang Xueqin a été arrêté par la police. Sa famille est demeurée sans nouvelles durant plusieurs semaines. Depuis son arrestation, Huang Xueqin est privée de l’avocate de son choix et de tout recours à une aide juridique. Elle souffre actuellement de plusieurs problèmes de santé inquiétants, notamment une importante perte de poids.
Depuis 2015, en Chine, un nombre croissant d’organisations œuvrant en faveur des droits des femmes font l’objet de répressions de la part des autorités.
Avec votre don, aidez-nous à obtenir sa libération !
mes droits sont attaqués.
“ Partout dans le monde, nous sommes menacées, arrêtées, condamnées pour notre engagement... et encore plus à cause de notre genre. Dès que nous obtenons de maigres avancées pour les droits des femmes, les régimes autoritaires prennent leur revanche en redoublant de violences à notre encontre. ”
Défendre les droits humains est leur seul crime, et être une femme une circonstance aggravante.
AVEC L’ACAT-France,
METTEZ FIN À LEUR PERSÉCUTION
Kenia, avocate et militante indigène féministe, condamnée à 20 ans de prison
Coupable de coordonner un collectif d’agriculteurs qui défend le droit à la terre, et d’accompagner les femmes victimes de violences de genre.
Avec votre soutien, exigeons la libération immédiate de Kenia
En raison de son travail et de ses engagements, Kenia a reçu des menaces de mort de la part de groupes armés de l’État de Guerrero, au Mexique. Obligée de quitter ...
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son territoire, elle a trouvé refuge à Mexico, d’où elle a continué ses combats.
Elle a été condamnée à plus de 20 ans de prison pour vol avec violence, alors qu’il a été prouvé qu’elle se trouvait à plus de 600 kilomètres de distance au moment des faits. Depuis plus de deux ans, Kenia est incarcérée dans une prison de haute sécurité, où les conditions de détention mettent sa santé en danger.
Son histoire est utilisée comme un exemple de punition pour les défenseurs et défenseures des droits humains au Mexique.
En 2021, au moins 4 473 femmes ont été victimes de féminicides en Amérique Latine, soit 12 morts violentes par jour.
Au Mexique, 8 femmes sur 10 détenues entre 2009 et 2016 ont été victimes de torture avant d’être jugées.
Grâce à votre don, aidez-nous à obtenir sa libération !
ma famille est menacée.
“ Les violences, y compris sexuelles, sont utilisées pour nous réduire au silence. En plus des risques encourus par les défenseurs des droits humains, en tant que femmes nous sommes aussi victimes d’attaques à l’acide, de viols, voire de féminicides. ”
Leur famille est prise pour cible afin de les contraindre à se taire.
AVEC L’ACAT-France, PROTÉGEZ CES FEMMES ET LEURS PROCHES
Sultana, défenseure des droits humains et de l’environnement persécutée avec ses proches
Découvrez son histoire
Sultana, défenseure des droits humains et de l’environnement persécutée avec ses proches
Coupable de défendre les droits humains ainsi que l’environnement, et de militer pour l’autodétermination du Sahara Occidental.
Grâce à votre soutien, faisons cesser le harcèlement subi par les défenseures des droits et leurs proches
En raison de leur militantisme, Sultana et sa sœur ont été arbitrairement assignées à résidence pendant près de 18 mois ...
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. Durant cette période, Sultana, sa sœur, et leur mère ont fait l’objet de multiples violences : injections de substances inconnues visant à les droguer ou à leur inoculer des maladies, coups, harcèlements, violences sexuelles allant jusqu’au viol. Sultana et ses proches ont finalement été libérées le 1er juin 2022.
À travers elles et les traitements cruels, inhumains et dégradants qu’elles ont subis, ce sont toutes les femmes engagées pour les droits des Sahraouis que les autorités marocaines cherchent à humilier et à faire taire.
43 prisonniers d’opinion sahraouis étaient encore emprisonnés en mars 2022.